Les oiseaux de nos jardins
Les oiseaux de nos jardins
Les oiseaux sont souvent des alliés du jardin. En effet, ces petits volatiles, pour se nourrir, vont chasser insectes, larves, limaces et autres parasites néfastes pour nos plantes et récoltes. Ainsi, il est important d’attirer le plus possible les oiseaux au jardin en hiver en plantant notamment des haies, des habitats favorables où ils peuvent se réfugier et manger. Vous pouvez par exemple miser sur le houx, le sorbier des oiseaux, le cerisier sauvage, l’amélanchier ou encore l’arbre aux faisans.
Voici quelques oiseaux que vous pourrez voir dans votre jardin l’hiver car ils ne migrent pas :
Le chardonneret élégant
Le chardonneret élégant participe au contrôle de certaines des plantes les plus gênantes du jardin. Effectivement, il sait extraire les graines des chardons des têtes qui les contiennent tout en évitant les piquants.
Ce passereau fréquente nos jardins, parcs et vergers. On l’aperçoit en automne et en hiver au bord des routes où poussent des chardons dont il picore les graines grâce à son bec pointu.
Il voltige d’une plante à l’autre pour se nourrir : graines, pousses de pissenlit, de bouleau, insectes et salades.
- La famille des mésanges : Vous connaissez sans doute la mésange bleue, avec sa tête bleue azur, son joli masque noir et blanc et son corps jaune. Ne la confondez pas avec sa cousine charbonnière, à la tête noire et légèrement plus grande que la bleue. Leur régime alimentaire, composé d’insectes et de graines, est en revanche identique. Il existe aussi des mésanges à longue queue (plus farouches) qui se déplacent en colonie. Mais aussi des mésanges nonnette et huppée, aux couleurs plus ternes.
La mésange charbonnière
La mésange charbonnière participe à la protection des arbres fruitiers et d'ornements contre les ravageurs.
La mésange bleue
- La mésange bleue (Cyanistes caeruleus) a des plumes jaunes dessous et bleues sur la tête. Elle est vive, pousse souvent des trilles et des cris aigus. Elle peut se suspendre la tête en bas pour manger. Elle peut protéger les rosiers des pucerons. Pour cela, placer un nichoir à proximité de celui-ci.
- La mésange charbonnière (Parus major) est noire sur la moitié supérieure de la tête et blanche sur la moitié inférieure. Une ligne noire entoure son cou et descend sur le milieu du corps jusqu’en dessous.
Consommant araignées, pucerons et autres insectes et leurs larves, si vous l'attirez dans votre jardin avec une mangeoire, elle aura l’efficacité d’un insecticide. Elle mange aussi des chenilles et des lombrics, des graines, des bourgeons et baies.
Dès l’automne, elle fréquente les mangeoires où elle se régale de graines (tournesol, cacahuètes) et de fruits à coque dure décortiqués. Elle adore aussi les boules de graisse enrichies en graines, insectes ou vers de farine.
Cette gourmande complète son repas avec des mini-pommes décoratives blettes, des baies de sorbier et des cynorrhodons.
Le verdier d’Europe
Le verdier d'Europe contrôle les mauvaises herbes puisqu'il consomme de grandes quantités de graines de pissenlit, d'onagre, d'armoise...
De la taille d’un moineau, le verdier d'Europe (Chloris chloris) mâle adulte est jaune-vert-olive, la femelle grise avec quelques traits vert-jaune. Il possède un gros bec conique. Il ne craint pas l’homme et peut s’observer facilement.
Dans les jardins, il cherchera des feuillus denses comme les églantiers, les aubépines et autres charmilles pour dissimuler son nid qui peut être assez volumineux. Il est granivore et affectionne, en hiver, les graines des rosiers et des framboisiers.
C’est un grand habitué des mangeoires. Et il laisse difficilement sa place aux autres oiseaux. Il se délecte de graines de toutes sortes, en particulier de tournesol.
Il adore les baies d’arbustes (cotonéaster, pyracantha, amélanchier), mais aussi les petites pommes d’ornement.
Le troglodyte mignon
Le troglodyte mignon participe au contrôle des espèces nuisibles du jardin car il se nourrit principalement d'insectes et d'autres invertébrés.
Son corps rond est revêtu d'un plumage brunâtre et légèrement barré. Il a en outre un bec mince et très pointu. Ce petit oiseau est surmonté d'une petite queue, presque toujours dressée verticalement.
Il fait partie des oiseaux les plus petits d'Europe après les différentes espèces de roitelet.
L’accenteur mouchet
Au jardin, l'accenteur mouchet participe au contrôle des espèces à problème, puisqu'il est insectivore.
L'accenteur mouchet (Prunella modularis) peut être confondu avec le moineau domestique mâle bien qu’en y regardant de plus près son plumage soit plus clair : il est de la couleur de la terre. C’est le bec qui le différencie bien, plus fin que chez le moineau.
Son comportement est aussi tout différent : il mène une vie discrète dans les fourrés et presque toujours seul. Lorsqu’il recherche sa nourriture au sol, il saute par petits bonds nerveux, la queue bougeant verticalement.
Le pic épeiche
Le pic épeiche limite la prolifération des insectes du bois mort s'attaquant au coeur des vieux arbres.
Fréquent dans les arbres, il déniche sa nourriture (petits invertébrés, insectes) dans les crevasses à l’aide de sa langue collante.
Il picore les cacahuètes dans les mangeoires, les pommes de pin avec leurs pignons, les noix, amandes et noisettes, qu’il déchiquette avec son gros bec.
Le merle noir
Le merle noir contribue à l'équilibre du jardin, mais il peut également déranger les semis.
Le merle noir (Turdus merula) a une queue longue et des ailes courtes. En période nuptiale, le mâle adulte est entièrement noir avec un bec jaune et l’œil entouré d’un cercle jaune. Les femelles ont généralement un plumage entre brun et gris, le bec est brun et peut jaunir avec l’âge.
Bien qu'espèce forestière, il s’observe aussi en lisière. C’est un oiseau territorial en période de reproduction, plus sociable en dehors de ces périodes. Il s’observe généralement seul. Dans votre jardin, vous pouvez l'observer, fouillant le sol, retournant les feuilles à la recherche de lombrics, ces derniers tenant une grande place dans son régime alimentaire. Mais lorsque les fruits sont mûrs, il se tournera volontiers vers eux.
Il sautille à terre et picore ce qu’il trouve : vers, limaces, escargots, insectes et chenilles qui composent jusqu’à 40 % de son menu.
Il se délecte aussi de fruits très mûrs ou tombés au sol (donnez- lui pommes et poires en hiver), de baies de lierre, de pyracantha ou d’aubépine.
Le merle : Cet oiseau au plumage noir et bec jaune pour le mâle est reconnu pour son chant et son attitude si particulière (sa queue s’abaisse et se relève nerveusement). Son régime insectivore et frugivore le pousse à se précipiter vers les pommes et poires laissées sur les mangeoires.
Voir aussi notre article dans ce blog : Le merle noir
Le pivert
Cet oiseau se nourrit principalement d'insectes et de larves, capturés sur le sol. Il recherche particulièrement les fourmilières dans les prés ou la pelouse, car les fourmis représentent plus de 90 % de son alimentation. Dans le sud de l'Europe, il s'attaque également aux ruches en hiver. Il complète son alimentation avec des graines et des baies.
Le pic vert picasse et peupleute. Il creuse son nid dans le tronc d'un arbre feuillu (parfois même dans un poteau),
Le moineau domestique
Tout le monde identifie le moineau domestique, au plumage marron et gris, aussi audacieux qu’effronté. Il fréquentera volontiers les mangeoires en hiver et les nichoirs prévus pour eux. Cet oiseau des villes a
aussi un cousin plus campagnard, le moineau friquet.
Moineau mâle Moineau femelle
Le moineau domestique participe au contrôle des populations d'insectes indésirables, notamment au moment de l'élevage des moineaux.
Le moineau domestique (Passer domesticus) est un passereau familier que l’on retrouve facilement l’été, en terrasse, à la recherche de déchets à picorer. Le dimorphisme sexuel est prononcé : le mâle est gris sur le dessous et marron sur le dessus, tandis que la femelle est gris clair sur le dessous et brun clair et noir en alternance sur le dessus. Il vit pratiquement partout où l'homme est présent et il est absent des milieux forestiers fermés.
C’est probablement l'espèce la plus sédentaire d'Europe de l'Ouest. Il est aussi grégaire et recherche la compagnie d'autres individus de son espèce. Il peut être considéré comme omnivore. Comme cet oiseau apprécie les jeunes pousses, les fruits tendres et certains bourgeons, le jardinier n’aime pas sa présence dans le jardin.
Le pinson des arbres
Le pinson des arbres mâle anime le jardin grâce à son chant mélodieux.
Le pinson des arbres (Fringilla coelebs) mâle est bien coloré, avec des teintes gris bleuté sur la tête, brun rouge sur le corps et des ailes alternant noir et blanc. Le plumage de la femelle décline une palette restreinte aux teintes gris chaud. Même si c’est une espèce typiquement forestière, c’est parce que le pinson des arbres sait s’adapter à de nombreuses situations que vous pouvez l'observer dans votre jardin.
Au sol, il recherche sa nourriture, en sautillant. Le pinson est omnivore mais a une préférence pour les insectes. Entre les périodes de reproduction, il se regroupe par individus du même sexe : les mâles d’un côté, et les femelles et les jeunes de l’autre.
Quand il fait froid, cet amateur de chenilles, d’araignées et d’insectes devient principalement granivore. Il s’approche des mangeoires pour grappiller les graines de tournesol tombées au sol.
Il aime aussi les baies (sureau, aubépine) et les fruits blets. Pensez à lui en laisser !
Ce granivore coloré (pour le mâle surtout, rouge sur le jabot et calotte gris-bleu) se rencontre autant en ville qu’à la campagne. Il préfère nicher dans un arbre, pour manger des insectes.
Le pinson du Nord
Le pinson du Nord niche en Scandinavie et au nord de la Russie. Durant l'hiver, il descend plus au sud, ainsi, il est possible de l'observer au nord de la France.
Pendant l'été les insectes constituent leur ressource essentielle. En automne et en hiver, ils sont surtout granivores. Leur nourriture préférentielle provient alors des faînes de hêtres, dont la teneur oléagineuse leur procure un apport calorique précieux pour la saison froide. Les semences de conifères leur fournissent également une pitance d'appoint, de même que les baies de certains arbres (sorbiers et sureaux entre autres) et les graines d'un grand nombre de plantes qu'ils glanent principalement à terre. L'hiver venu, ils s'approchent des mangeoires pour profiter des graines de tournesols, ou cherchent leur nourriture dans les champs en friches, les abords des fermes et les jardins.
Le rouge-gorge familier
Le rouge-gorge : Immanquable avec sa gorge orange du plus bel effet, le rouge-gorge familier apprécie les vers et petits insectes des jardins, mais saura savourer les boules de graisse en hiver.
Le rouge-gorge familier (Erithacus rubecula) est facile à reconnaître grâce à son plastron orange. Cette petite boule de plumes est généralement vue seule. Sa nature peu farouche désigne le rouge-gorge familier comme "l’ami du jardinier", car il peut s’approcher très près de la personne œuvrant au jardin. Le rouge-gorge a besoin d’un territoire pour assurer une quantité de nourriture suffisante : sans territoire, il meurt au bout de quelques semaines. S’il fait trop froid, il peut migrer jusqu'en Afrique du Nord entre septembre et avril.
Il participe à l'équilibre de la faune au jardin.
La grive musicienne
La grive musicienne contrôle les populations de certaines espèces d'escargots au jardin.
La grive musicienne (Turdus philomelos) a le dessous du corps blanchâtre strié ou tacheté de noir. Discrète et craintive, la grive est difficile à observer. Elle consomme des insectes et des escargots dont elle peut casser la coquille.
C’est son chant à la tonalité élevée qui lui donne son nom, cet oiseau répétant entre 2 et 6 fois les notes.
L’étourneau sansonnet
L'étourneau sansonnet chasse les larves d'insectes présentent sur le sol. En hiver, oiseau grégaire, il se groupe en bandes importantes.
L'étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris) est un peu plus petit que le merle. Son plumage est moucheté, noir et lustré chez le mâle en période nuptiale. Il a besoin de milieux ouverts pour glaner son alimentation au sol et des cavités pour la reproduction. S’il est omnivore, il préfère les insectes.
Élégant mais vorace, l’étourneau sansonnet se pare d’un beau plumage noir à taches brunes. Cet oiseau des villes est surtout reconnu pour former des « nuages » de plusieurs milliers d’individus qui se meuvent gracieusement dans le ciel.
Prenez garde, il pille tout sur son passage !
Dans les arbres dans lesquels ils se nichent, leurs nuisances nauséabondes et leurs piaillements sonores les font détester des citadins qui cherchent tous les moyens pour les faire fuir par éffarouchements (rapaces, fusées...) ou pour empêcher qu'ils s'installent dans les arbres (filets...)
La Tourterelle turque
La Tourterelle turque (Streptopelia decaocto) est un oiseau qui appartient à la famille des Columbidés. Proche physiquement du pigeon, cet oiseau migrateur est reconnaissable à sa demie collerette noire (chez les tourterelles juvéniles). Bon à savoir : La tourterelle ne chante pas mais caracoule.
La tourterelle turque (Streptopelia decaocto) ressemble au pigeon mais a une allure beaucoup plus élancée. Son plumage est gris, sa queue est longue. Des plumes noires dessinent un trait sur la partie inférieure de son cou.
La tourterelle turque se nourrit sur le sol. C’est un oiseau vu seul ou en couple. Elle est essentiellement granivore et, aux beaux jours, agrémente son alimentation d’insectes, de bourgeons, voire de fleurs.
A ne pas confondre avec le pigeon, plus grand et plus gros, la tourterelle arbore un plumage gris rosé… tourterelle du plus bel effet. La tourterelle turque est un oiseau migrateur qui s’est sédentarisé au fils des années en Europe, elle présente un joli collier noir sur son plumage.
Le tarin des aulnes
Tarin femelle Tarin mâle en plumage nuptial
Le tarin des aulnes est discret et est souvent en quête de nourriture et d'eau. Pour avoir la chance d'apercevoir son joli pelage jaune et noir, installez un mangeoire et une petite coupelle d'eau.
Le tarin habite dans les zones assez boisées tels les bois les forêts ou les terrains vagues, et a une préférence pour les conifères. Durant la période hivernale il fréquente les aulnes et les bouleaux et il n'hésite pas à se rapprocher des habitations, où il fréquente volontiers les mangeoires.
Le roitelet huppé
Reconnaissable par sa petite crinière jaune-orangée, le roitelet huppé est l'un des oiseaux les plus colorés. En effet, il arbore un dos est vert-olive, un ventre jaune-gris et des ailes rayées de deux bandes blanches. Vous pouvez le repérer également par son cri haut-perché.
A cette période de l’année, la nourriture ‘naturelle » se fait rare et les points d’eau sont gelés. Installez-leur des mangeoires, des nichoirs mais aussi des petites coupelles d’eau tiède. Vous pouvez également fabriquer des boules de graisse et de graines afin qu’ils mangent à leur faim !
La sitelle
La sittelle torchepot : Un corps fauve, une tête gris bleuté et un bandeau noir sur les yeux, la sittelle torchepot est un bel oiseau de la taille d’un moineau, qui adore se déplacer sur les troncs des arbres en marchant à la verticale peu importe le sens. Sa particularité ? Elle façonne le trou de son nichoir à sa taille en le maçonnant avec un torchis issu d’un mélange de salive et de boue.
Visible surtout en hiver, elle parcourt les troncs d’arbres en tous sens pour dénicher dans les failles insectes et araignées.
Elle mange aussi des graines (pavot, tournesol, lunaire), surtout en hiver, et grignote les noix, noisettes et cacahuètes (non salées et non grillées) mises à sa disposition.
Le grimpereau :
Le grimpereau, dont la couleur du plumage est discrète ne peut dissimuler les acrobaties délirantes qu’il s’autorise sur les troncs d’arbres. Vous identifierez également cet oiseau grâce à son long bec, utile pour dénicher les insectes dissimulés dans l’écorce.
Le grimpereau des jardins ( Certhia brachydactyla) est un passereau de petite taille de la famille des Certhiidae qui se déplace par petits bonds et dont le plumage tend à se fondre avec l'écorce des arbres sur lesquels il évolue.
La bergeronnette grise
Motacilla alba La Bergeronnette grise (Motacilla alba), aussi appelée Hochequeue gris, est une espèce de petits passereaux de la même famille que les pipits et la sentinelle. Cette espèce niche dans la plus grande partie de l'Europe et de l'Asie, ainsi que dans certaines parties de l'Afrique du Nord. Elle est sédentaire dans la partie la plus douce de son habitat et migre vers le sud dans les autres cas. Autrefois, elle était également appelée « lavandière » comme en parle Georges-Louis Leclerc de Buffon dès 1778. Elle est considérée comme un emblème national en Lettonie .
Se reconnaît facilement avec le haut de la tête, la gorge, la nuque et les ailes noires. Son ventre est blanc.
Le pigeon ramier :
Pigeon ramier (Columba palumbus) ou palombe
Notez la tâche blanche sur le cou (1) et les ailes uniformément grises (sans barre noire) (2)
Le pigeon ramier est un oiseau très grégaire. Le régime du pigeon ramier est constitué de matière végétale (feuilles vertes, baies, bourgeons, fleurs, racines et graines) mais des invertébrés sont consommés occasionnellement. L'alimentation se déroule principalement au sol par picorage mais elle peut également s'effectuer dans les arbres, les oiseaux se montrant alors d'une rare agilité.
Dans nos jardins, il vient picorer les graines tombées au sol des mangeoires à oiseaux.
Le Geai des chênes
Le Geai des chênes est reconnaissable à son plumage coloré, rayé de noir et blanc sur la tête, dont les plumes peuvent se dresser (huppe érectile). Son bec est prolongé par une bande noire sous l'œil qui donne l'impression qu'il porte des sortes de moustaches noires.
Le Geai, comme la plupart des espèces, a une alimentation qui varie selon la saison mais, surtout, il fait partie des rares espèces d'oiseaux (Casse-noix moucheté...) qui « thésaurisent », c'est-à-dire qui stockent de la nourriture (glands, faines...) pour l'hiver et le printemps. Il peut le faire presque toute l'année, mais c'est en automne qu'il y consacre le plus de temps et d'attention. Sous son bec, il possède une petite poche dans laquelle il peut aisément stocker les graines qu'il récolte. La capacité de cette poche est de quatre à sept glands qu'il peut ainsi transporter avant de les cacher dans le domaine où il niche, car tout au long de l'automne, il se constitue des réserves, qu'il dissimule sous des racines, des mousses, à l'intérieur de souches d'arbre ou même sous le tapis de feuilles. Il disperse souvent les glands dans les jardins qui poussent souvent aux endroits non désirés.
Il a été estimé qu'un seul geai enfouit chaque année près de 4 600 glands, ce qui fait de lui le premier reboiseur européen de chênes et de hêtres.
Faut il leur donner à manger aux oiseaux l'hiver ?
Voir cet article du blog à ce sujet : Faut il nourrir les oiseaux l’hiver ?
Sources diverses internet (Wikipedia, Rustica, etc.)
Rédacteur Jean-Pierre Bouchet ALT 11-2021
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